Brocéliande ou comment se suicider cinématographiquement parlant

Salut les amis, comment ça va?

Bon je vous rassure tout de suite, l'article qui va suivre est chiant au possible mais je vous réserve une petite surprise pour tous les coquins et coquines très bientôt. Bon faut dire aussi que je vous ai coupé la moitié de mon article car même moi je me suis fait chier à l'écrire. D'ailleurs, je sais pas pourquoi je vous en parle mais bon, c'est vous les juges après tout. Pour cette fois et uniquement pour cette fois-ci, je vous autorise à me cracher à la gueule tellement ce film est digne d'étudiants en cinéma bourrés à la fin d'une soirée.

Un mec se fait agresser par une bête mais le jeu d’acteur est tellement pourri. On a presque l’impression qu’il susurre : « j’ai oublié le gaz raaaaaaaaah ».

Alors que pendant ce temps le monstre arrive vers les bombes et les deux derniers gentils qui restent. Mais le deuxième méchant est rattrapé par le monstre. Le monstre arrive vers les deux gentils et enfin on voit à quoi il ressemble. Ah oui au fait il restait une autre gentille un otage du second méchant qui revient vers les gentils et ils se battent contre le monstre a coups de serpes. Quelles femmes, dommage qu’en vrai ce soit jamais elles qui défendent les hommes. Suspense qui va gagner ? Peut-être le méchant pour une fois.

Bon je vous dirais qu’à ce stade du film, j’en ai strictement plus rien à foutre mais que ca finisse et vite. Mais bien sur il fallait détruire la pierre des druides alors que le méchant s’est auto combustionné. Est-ce la fin du film ? Suspense…les deux filles ressortent du temple et s’allument une clope bien sur moi aussi après avoir échappé à la mort je n’ai qu’une envie. Appeler la police ? Mes parents ? Aller me doucher et dormir ? Mais non voyons fumer y’a que ca de vrai !

Bon allez je vous dirais que même moi je me suis fatigué tout seul tellement ce film ne méritait pas cette chronique. Bon allez promis la prochaine fois je fais un truc bien, en même temps c’est pas bien difficile. Dommage, le cinéma français sait faire tellement bien quand il veut mais c’est pas avec ce genre de grosse merde (oui je peux pas dire autrement) que le cinéma français redore son blason.

N'oubliez pas le commentaire et n'oubliez pas de revenir car très bientôt, il y aura une surprise qui, j'en suis sûr, vous fera plaisir et peut-être même rougir.

Allez salut les amis.